vendredi 28 novembre 2008

Tour de Babel

La tour de Babel était selon la Genèse une tour que souhaitaient construire les hommes pour atteindre le ciel. Descendants de Noé, ils représentaient donc l'humanité entière et étaient censés tous parler la même et unique langue sur Terre, une et une seule langue adamique. Pour contrecarrer leur projet qu'il jugeait plein d'orgueil, Dieu multiplia les langues afin que les hommes ne se comprissent plus. Ainsi la construction ne put plus avancer, elle s'arrêta, et les hommes se dispersèrent sur la terre.

Cette histoire est parfois vue comme une tentative de réponse des hommes au mystère apparent de l'existence de plusieurs langues, mais est aussi le véhicule d'un enseignement d'ordre moral : elle illustre les dangers de vouloir se placer à l'égal de Dieu, de le défier par notre recherche de la connaissance, mais aussi la nécessité qu'a l'humanité de se parler, de se comprendre pour réaliser de grands projets, ainsi que le risque de voir échouer ces projets quand chaque groupe de spécialistes se met à parler le seul jargon de sa discipline.

Les récits de constructions que les hommes tentaient d'élever jusqu'au ciel ont depuis longtemps marqué les esprits, source d’inspiration pour bon nombre d’écrivains et d’artistes.

Tower of Babel

The Tower of Babel (Hebrew: מגדל בבלMigdal Bavel Arabic: برج بابلBurj Babil) according to chapter 11 of the Book of Genesis, was an enormous tower intended as the crowning achievement of the city of Babilu, the Akkadian name for Babylon. According to the biblical account, Babel was a city that united humanity, all speaking a single language and migrating from the east; it was the home city of the great king Nimrod, and the first city to be built after the Great Flood. The people decided their city should have a tower so immense that it would have "its top in the heavens." (וְרֹאשׁוֹ בַשָּׁמַיִם). However, the Tower of Babel was not built for the worship and praise of God, but was dedicated to the glory of man, with a motive of making a 'name' for the builders: "Then they said, 'Come, let us build ourselves a city, and a tower with its top in the heavens, and let us make a name for ourselves; otherwise we shall be scattered abroad upon the face of the whole earth.'" (Genesis 11:4). God, seeing what the people were doing, gave each person a different language to confuse them and scattered the people throughout the earth.

Babel is the Hebrew equivalent of Akkadian Babilu (Greek Babylon), a cosmopolitan city typified by a confusion of languages.[1] The Tower of Babel has often been associated with known structures, notably the Etemenanki, the ziggurat to Marduk, by Nabopolassar (610s BC). A Sumerian story with some similar elements is preserved in Enmerkar and the Lord of Aratta.

Pyramides d'Égypte

Les pyramides d'Égypte, de tous les vestiges monumentaux que nous ont légués les Égyptiens de l'Antiquité, et notamment les trois grandes pyramides de Gizeh, sont à la fois les plus impressionnants et les plus emblématiques de cette civilisation.

Tombeaux des rois, des reines et des grands personnages de l'État, dont l'édification remonte pour la grande majorité au tout début de l'Égypte antique, la forme pyramidale de pierre accueille une ou plusieurs chambres internes reliées par des couloirs.

La grande pyramide de Gizeh, construite par Khéops, fait partie des sept merveilles du monde antique.

Egyptian pyramids

The Egyptian pyramids are ancient pyramid shaped masonry structures located in Egypt.

There are over 100 pyramids in Egypt. Most were built as tombs for the country's Pharaohs and their consorts during the Old and Middle Kingdom periods.[1][2] [3]

The earliest known Egyptian pyramid is the Pyramid of Djozer which was built during the third dynasty. This pyramid and its surrounding complex were designed by the architect Imhotep, and are generally considered to be the world's oldest monumental structures constructed of dressed masonry.

The best known Egyptian pyramids are those found at Giza, on the outskirts of Cairo. Several of the Giza pyramids are counted among the largest structures ever built.[4]

The Pyramid of Khufu at Giza is the largest Egyptian pyramid. It is the only one of the Seven Wonders of the Ancient World still in existence.

Tyre, Lebanon

Tyre (Arabic صور Ṣur, Hebrew צור Tzor, Tiberian Hebrew צר Ṣōr, Akkadian Ṣurru, Greek Τύρος Týros, Turkish: Sur) is a city in the South Governorate of Lebanon (not to be confused with Tyros also called Greek Τύρος on the Arcadian coast of the Eastern Peloponnese in Greece). There were approximately 117,000 inhabitants in 2003,[1] however, the government of Lebanon has released only rough estimates of population numbers since 1932, so an accurate statistical accounting is not possible.[2] Tyre juts out from the coast of the Mediterranean Sea and it is located about 80 km (50 mi) south of Beirut. The name of the city means "rock" [3]. The adjective for Tyre is Tyrian, and the inhabitants are Tyrians.

Tyre is an ancient Phoenician city and the legendary birthplace of Europa and Elissa (Dido). Today it is the fourth largest city in Lebanon [4] and houses one of the nation's major ports known locally in French as Soûr. Tyre is a popular destination for tourists. The city has many ancient sites, including its Roman Hippodrome which was added to UNESCO's list of World Heritage Sites in 1979 (Resolution 459).[5]

Liban

Le Liban (لبنان, Lubnän), officiellement République libanaise[2] est un pays du Proche-Orient, en grande majorité montagneux. Il partage ses frontières avec deux pays, la Syrie à l'est, sur 376 km et Israël au Sud sur 79 km . Il est bordé par la mer Méditerranée, à l'ouest, avec 240 km de côtes. Beyrouth est la capitale du Liban. La langue officielle est l'arabe, cependant, la moitié des Libanais sont francophones et la langue anglaise est largement utilisée. La monnaie nationale est la livre libanaise.

Du fait de sa composition pluriconfessionnelle, le Liban est doté d'un système politique fondé sur une répartition plus ou moins proportionnelle, du pouvoir, selon le poids de chaque communauté religieuse, c'est le confessionnalisme[3].

L'État moderne, tel qu'il existe aujourd'hui avec ses frontières a été créé en 1924, par Clemenceau lui même, qui en dessina les frontières, le pays étant alors sous mandat français.

Le drapeau du Liban est composé de trois bandes horizontales, deux rouges (en haut et en bas), représentant le sacrifice pour l'indépendance, et une blanche faisant le double d'une bande rouge représentant la paix. Le tout frappé en son centre par un cèdre, symbole par excellence du pays. L’emblème du pays, qui figure sur son drapeau, est le cèdre du Liban, (Cedrus libani Pinacées). Son bois, imputrescible et très léger, aurait servi entre autres à la construction du Temple de Salomon à Jérusalem. Les Phéniciens s'en servaient également pour la construction de leurs légendaires navires. Aujourd'hui, il est illégal d'abattre son arbre[réf. nécessaire]. Ce drapeau tel qu'il est date de 1943[4].

Le Liban est fort de sa culture, de ses 18 confessions et de sa diversité géographique. Le Liban a été occupé au cours des siècles par diverses civilisations. Le Liban est aussi réputé dans le monde pour sa gastronomie et, dans le monde arabe, pour sa musique. Avant la guerre civile qui ravagea le pays entre 1975 et 1990, le pays connut, entre son indépendance et le début de la guerre, une période de relative prospérité économique et de stabilité politique, permises par la forte croissance des secteurs du tourisme, de l'agriculture ainsi que du secteur des finances et services (banque, assurances...).[5] Le pays était de ce fait considéré comme le coffre fort du Levant, et était également connu comme "La Suisse du Moyen-Orient", du fait de son poids et de sa puissance financière. Le Liban a attiré un grand nombre de touristes, en grande partie dû au fait que Beyrouth, la capitale du pays, fut connue comme la "Paris du Moyen-Orient".

Immédiatement après la fin de la guerre civile, de grands efforts ont été faits pour reconstruire le pays, par le biais d'investissements colossaux du gouvernement. De ce fait, grace à ces efforts, l'IDH du Liban est passé de 0,677 en 1990 à 0,759 en 2003 [6]. En outre, au début 2006, le pays avait atteint un niveau de stabilité relativement élevée, et la reconstruction de Beyrouth entra dans sa phase "high-density"[7], et un nombre toujours croissant de touristes fut enregistré. Cependant, la guerre israélo-libanaise de juillet 2006 mit un terme à l'afflux touristique, et causa de grands dommages dans les infrastructures civiles du pays. Ces dommages sont estimés à environ 3 milliards de dollars, sans compter le ralentissement économique qui s'en est suivi.

Jordanie

La Jordanie est un pays du Moyen-Orient, bordé à l'ouest par la Cisjordanie (région dont le statut est sujet à discussions entre Israël et l'Autorité palestinienne) et Israël, au sud par l'Arabie saoudite, à l'est par l'Irak et au nord par la Syrie, avec en outre un accès à la mer Morte et à la mer Rouge.

Géographie

La Jordanie est un pays du Moyen-Orient, entouré par la Syrie au nord, l'Irak au nord-est, l'Arabie saoudite à l'est et au sud, et enfin Israël et la Cisjordanie à l'ouest. Toutes ces frontières représentent 1619 km. Le Golfe d'Aqaba et la Mer Morte délimitent aussi le pays. La Jordanie possède également 26 km de littoral. Les principales villes du pays sont Amman (1 181 000 habitants en 2001 ), Irbid et Zarqa, toutes trois situées dans le nord-ouest du pays.

La Jordanie est composée principalement d’un plateau désertique aride à l'est, et d’une région montagneuse à l'ouest. La Vallée du grand rift et le Jourdain séparent la Jordanie d'Israël. Le point culminant du pays est le « Jabal Ramm » à 1 754 mètres, à l’inverse la Mer Morte est le moins élevé. Le climat est sec et chaud, conséquence du désert. Cependant, le pays a une saison pluvieuse à l'ouest de novembre à avril.

Avec 14 autres pays, on considère la Jordanie comme étant "le berceau de l'humanité".

97,2% de la population est musulmane, principalement de rite sunnite et environ 2,7% de chrétiens orthodoxes vivent en Jordanie surtout à Amman et à Irbid.

Économie

La Jordanie poursuit la politique de modernisation économique entamée par le Roi Hussein dès la fin des années 1980 et amplifiée par son successeur, son fils le Roi Abdallah II. Dans un environnement régional particulièrement difficile, les performances de l’économie jordanienne ont été supérieures aux attentes. Parmi les réussites à porter à l’actif des autorités : l’amélioration de la gestion du secteur public, la gestion des privatisations, la création de la zone économique spéciale d’Aqaba et de zones industrielles spéciales (QIZ).

Ces éléments ont contribué à porter la croissance économique du pays (7,5% en 2005), qui est également soutenue par la position de refuge que connaît la Jordanie pour les capitaux irakiens, palestiniens ou syriens, ainsi que par l’aide extérieure (principalement américaine). Le Royaume a accueilli fin mai 2005, pour la troisième année consécutive, la réunion du « World Economic Forum » sur les rives de la Mer morte.

Plusieurs aspects négatifs assombrissent cependant le tableau : un endettement extérieur et un déficit budgétaire importants, la sensibilité du secteur touristique aux crises régionales ainsi que la pauvreté d’une partie non négligeable de la population. La Jordanie a également dû subir les conséquences de l’augmentation des prix du pétrole depuis le début de l’année 1.


Pétra | La nouvelle merveille du monde

Pétra (de πέτρα petra, « rocher » en grec ancien ; البتراء Al-Butrāʾ en arabe), de son nom sémitique[1] Reqem ou Raqmu (« la Bariolée »), est une ancienne cité troglodytique située dans l'actuelle Jordanie, au cœur d'un bassin bordé par les montagnes qui forment le flanc oriental de l'Arabah (Wadi Araba), grande vallée prolongeant le grand rift vers le nord et qui s'étend de la mer Morte au golfe d'Aqaba.

Créée dans l'Antiquité vers la fin du VIIIe siècle av. J.-C. par les Édomites, elle est ensuite occupée vers le VIe siècle av. J.-C. par les Nabatéens qui la font prospérer grâce à sa position sur la route des caravanes transportant l'encens, les épices et d'autres produits de luxe entre l'Égypte, la Syrie, l'Arabie du Sud et la Méditerranée. Vers le VIIIe siècle, la modification des routes commerciales et les séismes entraînent l'abandon progressif de la ville par ses habitants. Tombé dans l'oubli à l'époque moderne, le site est redécouvert par le monde occidental grâce à l'explorateur suisse Jean Louis Burckhardt en 1812.

Les nombreux bâtiments, dont les façades monumentales sont directement taillées dans la roche, en font un ensemble monumental unique qui, depuis le 6 décembre 1985, est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. La zone autour du site est également, depuis 1993, un parc national archéologique.

Petra | The new wonder of the world

Petra (from "petra", rock in Greek; Arabic: البتراء, Al-Batrāʾ) is an archaeological site in the Arabah, Ma'an Governorate, Jordan, lying on the slope of Mount Hor[1] in a basin among the mountains which form the eastern flank of Arabah (Wadi Araba), the large valley running from the Dead Sea to the Gulf of Aqaba. It is renowned for its rock-cut architecture. Petra is also one of the new wonders of the world.

The site remained unknown to the Western world until 1812, when it was discovered by Swiss explorer Johann Ludwig Burckhardt. It was famously described as "a rose-red city half as old as time" in a Newdigate prize-winning sonnet by John William Burgon. UNESCO has described it as "one of the most precious cultural properties of man's cultural heritage."[2] In 1985, Petra was designated a World Heritage Site.